Théâtre Déjazet
41,
boulevard du Temple
75003 Paris
Tel : 01 48 87 52 55
Métro :
République
Mis
en scène par Fabrice Eboué et Thomas Gaudin
Présentation :
Réseaux sociaux, militantisme exacerbé, Cancel Culture, la crise du Covid n’aura
fait qu’accélérer l’émergence du nouveau monde… Fabrice Eboué se sent déjà
dépassé…
Se
refusant à être un témoin passif des dysfonctionnements de notre société, dans
un grandiloquent « Adieu Hier », il rejette délibérément tout ce qui
appartient au passé pour n’aborder que l’actualité, la sienne et celle du monde
qui l’entoure.
Photo : JohnWaxx |
Physique particulièrement affûté, Fabrice n’observe pas de round d’observation. Il est chaud tout de suite. Il canarde à tout va et à jet continu. Il nous soûle coups ; de coups bas même, car il frappe parfois sournoisement sous la ceinture. Ennemi « public » numéro 1, il s’en prend à une poignée de spectateurs qu’il ne lâchera pas tout au long de la soirée.
Sans
aucun temps mort, il aborde de nombreux thèmes : sa scolarité dans le même
établissement que son conscrit Emmanuel Macron ; la diversité ; les
méfaits du rap ; les miss France ; les abus du féminisme ; les
joggeuses ; la pédophilie dans l’Eglise ; les tueurs en série ;
les réseaux sociaux… Et j’en passe. Bref, il n’épargne pas grand monde. Ce n’est
pas de sa faute. Il le reconnaît d’ailleurs lui-même : son cerveau ne produit
systématiquement que « des idées sordides ». Maintenant que l’on sait
qu’il est atteint d’une maladie chronique, il lui sera beaucoup pardonné.
Un
homme qui nous fait autant rire ne pouvaitt pas être volontairement aussi
pervers et malintentionné…
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